Ce bilan publié, en décembre dernier, analyse le circuit des appels, l’évolution des flux d’appels, la population concernée, les formes de danger.

Ces chiffres ne sont pas encourageants, qui augmentent par rapport à l’année 2016. On y apprend  notamment que :

  • 32 766 (93 par jour) appels ont été traités (+ 8,5 % par rapport à 2016).
  • 4 332 appelants sont les mineurs concernés par la situation (+ 19 %).
  • 46 informations préoccupantes (+ 7 %)  et 47 aides immédiates ont été effectuées par jour.
  • 94,4 % des auteurs présumés sont membres de la famille proche (+ 1,4 %).
  • 1/3 des dangers évoqués sont des violences psychologiques.

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